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Poèmes d'Alexia

24 décembre 2015

A travers la vitre je l'aperçois Qui se nois dans

A travers la vitre je l'aperçois Qui se nois dans sa folie Elle me fais oublier mon ame ecartelé C'est une artiste torturée Et je vois ses pensées dans mon miroir Elle est étrange et rare J'aime tellement ça C'est une femme enfant Dangereuse et hysterique Mais ses yeux m'inspire l'art et la musique Je la vois puis elle disparait Dans l'abstrait du jardin Dans les souvenirs lointain Elle à des lèvres pulpeuses et les yeux bleu ou marron Je ne sais plus En tout cas elle à l'air heureuse Mais derriere son sourire eperdument vivant J'entend le cris de ses pensées Comme ces gens fous enfermés ,attachés Elle ne vivra peut être pas longtemps Je ne sais pas Elle est peut être moi ou juste un rêve Elle est peut être réel Mais en tout cas elle emmele mes nuits Elle apparait dans les goutes de pluie Sa robe est blanche comme les matelas d'asile Et sa chevelure lisse et longue change de couleur Quand elle n'est pas la elle m'inspire terreur Mais quand elle est la elle est ce bonheur qui me comble Qui broie les decombres noir Elle est si perturbée Imbibée de démence J'aime tellement ça Elle est ma romance Dans ce pavillon des femmes folles Avec elle je m'envole Est ce elle que je vois dans mon reflet Que je ressent dans l'air frais ×2 Ses larmes qui prennent la fuite Expriment l'ame détruite Elle parle toute seule Et se roule dans les feuilles Ses cheveux decoiffé expriment son esprit desorganisé Sa folie aussi grande que le soleil J'aime tellement ça Et quand elle se reveille Le soleil noir redevient jaune à mes yeux Elle est si perturbée Imbibée de démence J'aime tellement ça Elle est ma romance Dans ce pavillon des femmes folles Avec elle je m'envole Est ce elle que je vois dans mon reflet Que je ressent dans l'air frais Un jour j'ouvre mes yeux Je decouvre l'amertume Car la femme enfant s'est enfuis La pluie renait Et la vie s'enteind Elle s'est effacer comme un clandestin Et mon soleil noir restera à jamais noir Et mon miroir ne me sourira plus
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24 décembre 2015

Aurore noir dans la lueur Ces jacyntes grises

Aurore noir dans la lueur Ces jacyntes grises mourrantes dans les jardins insalubres Et dans ce pavillon lugubre je pleure mon être Les roses fanent et mon ame saigne Dans cette prison aux songes profond Et le mal de l'eternel regne Parmis ces fleurs infirmes et innocentes qui s'effacent Ame cris ton dessaroi Non loin des hortensia arrachés Et des muguets qui ne sont plus blanc Rien qu'une couleur terne et fadasse Et les iris qui ne brillent plus l'azur Juste un grisatre mur Et les fleurs de pissenlits qui ne realisent plus les souhaits des enfants Tandis que mes lila et mes violettes ne sont plus violette mais sont rouge comme le sang Puis deviennent noir ou grises tout comme ce jardin denudé à jamais de sa vie
24 décembre 2015

Mes derniers membres decharnés dans le ruisseau

Mes derniers membres decharnés dans le ruisseau de sang Cadavre abominable Et teint grisatre jaunissant dans la cisaille Je suis la laideur extreme et la vacuité infame en cette putrification nauseabonde En ce dernier souffle Je suis la mutilation profonde sur le bras du torturé et le sang ecarlate criard qui exprime la rage de l'artiste maudit Oh laideur absolu Oh corbeau mutilé Colombe decapité Squellettes poussireux dans ces roses grises Entendu tu le dernier cris du suicidè au fond du ravin Vois tu sa tête decoupée sur la branche à côté du crane humain Sent tu l'odeur de la mort Et ressent tu la torture lancinante et atroce du desespoir perpetuel
24 décembre 2015

Une odeur de mangue exotique Loin des teints

Une odeur de mangue exotique Loin des teints exsangue et sinistre Dans les pavillons aux fleurs passionnés Ou le sable rime avec douceur exquise emmerveillé Ou l'homme blafard est mort et la femme tropicale vie Ou les raffales grisatres n'ont pas leur place Et chaque coquillage qu'on ramasse est un papillon Et l'horizon un pays magique accesible dans l'utopie Dans ce pays la la vie respire dans les palmiers Dans les reveries illuminés Dans la brise des valises de ces voyageurs De ces migrateurs voulant fuire l'ennuie Ou chaque bruit dans les ruisseau represente la paix Ou chaque pente est un allée vers un jardin de plante Et les rumeurs n'existe pas Oui en ce monde utopiste exotique A l'odeur du fruit de la passion Ou le savon degage l'odeur d'une fleur rare Un pays ou chaque rempart est un chemin Ou la louve affaiblie trouve terre ou manger Ou chaque nuage degage le parfum d'un extase Et dans ce pays magique chaque flamme fruité s'embrase sous les arbres brun
24 décembre 2015

J'etais chez moi et je regardai le journal

J'etais chez moi et je regardai le journal télevisé ,je m'ennuyai terriblement ,je me sentai un peut vide et inutile quand soudain une idée m'etait apparu J'ouvrai mon dictionnaire,je ne m'y attendai point mais soudain,sans crier gare une centaine de chevaux s'echappai des pages pour jouer de la musique classique dans mon salon.Les casseroles se mirent à gambader dans la maison sous la fluidité de la musique.Elles dansaient et s'embrassaient dans un elan de paix ,au milieu de couleurs extravertie.Mon dictionnaire était le maestro qui dirigeait l'orchestre.Dans ce délire rocambolesque et fantastique un goelan aux yeux multicolores en spirale et aux cornes sur la tête sortit d'un vase pour danser des claquettes.Les rideaux se mirent à danser sur une valse ,et sensuellement livraient leur corps les un contre les autres,les livre chantaient des gammes puis jouaient du tambour .Soudain une voiture volante arriva dans ma maison ,elle était ivre et hurlait ,les objets et animaux musiciens de ma maisons essayait de la calmer .Elle voulait détruire ce moment musicale.Je lui ai donner un somnifère et elle s'est endormie dans ma chambre sur mon lit .L'extase flambloyant continua eternellement dans cette mélodie passionnelle et eternelle.
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24 décembre 2015

Je suis le dément farfelue dans sa prose coloré

Je suis le dément farfelue dans sa prose coloré Torturé dans son massacre glauque ensanglanté Qui s'evade dans son délire abracadabrant Pour sortir de son accès melancolique bassinant Parmis les objets qui dansent Et les vases qui volent Parmis les laybrintes des galaxies Les créatures aux ailes fantaisie Un arbre pousse sur mon nez Ou se loge un troupeau de fée J'imagine ,j'imagine Et je delire Les mots me parlent et s'exaltent sur la mer Pour oublier la guerre contre moi même Le desaroi et l'amer J'imagine ,j'imagine Des métros qui dansent dans l'espace Une tasse qui chante dans une cadense Dans un bois ,sur le toit d'une maison de bonbon Elle ris et joue comme un poupon Profondement innocente La maison devient vivante et me sert la main Le gris maussade envahissant ne me hante plus Et la pluie fais du trampoline Aux milieux de chocolats praline J'imagine ,j'imagine Dans ma folie Dans ma poesie marginale Que j'avale un elephant Puis qu'il nage dans un océan A l'interieur de mon corps Au milieu de diamants et de cheveux d'or J'imagine ,j'imagine Et je m'evade dans cette folie qui me redonne vie Enfin
24 décembre 2015

Un noeu papillon reanime l'enfance et me fais

Un noeu papillon reanime l'enfance et me fais oublier la blessure adolescente ancrée,parmis les quelques bouts de chair decharnée,la respiration de ce livre me re fais vivre ,m'ennivre et me delivre dans la nature de l'ecrivain.Je retrouve ma respiration dans le tourbillon de folie ,et l'ame perdue fais renaitre l'existence en elle même.L'existentiel prend son sens et le vide disparait pour laisser place aux mots de l'artiste.Le vent carresse mes cheveux dans ce jardin si doux ,le soleil brille ,la vie existe ,la vie est la ,la vie respire et le desarroi vaincu dans la tombe des oubliettes .Humain à l'ouest tu peux encore respirer le vent des marées ,marcher dans les vastes champs ,ecouter le chant des fleurs et de la prose,comme quand on vole au loin dans le ciel ,au milieu des couleurs excacerbés de l'arc en ciel.Comme le temps est doux ,s'arrete quelques minutes dans la campagne puis reprend dans la ville.L'artiste lui ne mourra jamais parmis ces mortels ,il vivra ,renaitre dans son art ,dans un eternel et le noeu papillon de l'enfance renaitra sur chaque tête de l'adulte monotone.
24 décembre 2015

Ma société artistique que le conformiste ne

Ma société artistique que le conformiste ne saisis pas Sans règles ni lois Ma société à moi ,ou la musique se voit ,s'entend et se respire Dans lasquelle l'avenir poete ne vous regrettera pas Il y à belle lurette que je n'ai plus foix en l'humain hautain et avare Qui ne saisis pas l'art, si credule Mais dans mon crepuscule à moi Ma folie s'emmele Perpetuelle Pendant que vous Hommes fugaces et flasques Vivez dans le moule conventionnel Dans la foule eternel des ames sans respiration Dans l'attention materiel Dans le réel trop lucide Avec ces rides vieillesse Mais parfois j'ai le bourdon,l'amertume que j'exprime par ma plume Que ces humains profondement vide d'emotion Ne fassent partie de mon monde Ou ils ne se lasseraient pas Ou le desaroi s'enterre Dans les decombres noir oublié Ou l'oiseau sort de sa cage pour voler parmis les mots Ou l'eau est belle et s'envole Ou le rêve est haut Et la glaive detruite Avec l'epée et l'arme Ou rien ni personne ne desarme L'artiste fou qui sommeille en nous Ou la peinture et l'ivresse du chant reveille l'enfant Ou lassitude et solitude sont irréel Oui dans cette société artistique perpetuelle Je ferai vivre l'iréel Et la respiration de l'ame perdue aux oubliettes renaitra
24 décembre 2015

Delire anti conformiste

Mon être est emprisonné dans mon oreille et se noie au milieu des fleurs carnivores et de créatures malefique. Le plafond au dessus de la pièce me parle et tente de m'etrangler , le moustique telepathe me decoupe la peau dans un accès meurtrier. Des notes de musiques psychotiques et perverses hurlent,dansent vociferent et violent Dieu dans cette destructuration démente avant de finir attacher en camisole de force . Les nuages du ciel deviennent alcooliques puis se lotissent à l'interieur de mon nombril pour boire de l'alcool et les fleurs grandissent puis rappetissent en chantant de l'opera.La démence de cette ballade melodique et fantasque me berce dans un voyage de couleur intense. Ma langue sert de toboggan à des extraterrestres Ma bouche est une grotte dans lasquelle des dauphins punk et toxicoman se poignardent et s'injecte des calmants ,mon nez un abris de singe schyzophrènes .Il fais beau et j'ai mon parapluie ,je cris sur une galaxie ,sous le soleil ,à l'interieur de pluton ou sur neptune je ne sais plus.Des fleches envoyer par les crapeaux malefiques avaient failli m'attendre .Quand soudain je vis arriver le clan des batiments psychopathe en tutu ,armés d'une brosse à toilette, ils voulaient voler mon intenstin.Mon intenstin etait mon meilleur ami avec qui je communiquai tout les soirs et de temps à autre il sortait de mon corps pour me faire l'amour dans un bois.Le clan arrivait ,me poursuivait ,les batiments ayant trop fumer avaient les yeux ecarlates .Ils etaient devenu fou et avais tenter de detruire les maisons flutistes qui se pavanaient dans les champs en string.Je m'echappais en courant ,sortie de mon oreille puis retrouva une vie normale quabd soudain une licorne sortie de ma boite de céréale pour m'ouvrir la peau et me croquer les veines.Je saisis une carte magique me donnant le pouvoir de tuer la licorne mais la licorne plus maligne que moi avais elaborer des plans de manipulation pour lire dans mes pensées et me détruire.Elle voulait m'enlever et me re sequestrer à l'interieur mon corps pour m'utiliser comme esclave .Cette licorne vis à l'interieur de mon corps et sort de temps à autre se ballader dans le monde humain et les galaxie.C'est une licorne diabolique ,la licorne dirigeante de ce royaume à l'interieur de mon corps.Elle veux me détruire ,m'utiliser ,voler mes pouvoirs.Ce monde est ignoble et démoniaque.
25 novembre 2015

Je me creverais les yeux pour ne plus voir

Je me creverais les yeux pour ne plus voir l'atrocité du monde

Dans les vastes champs de batailles

Pour oublier les desir inseperés

Et la noirceur des fleurs decharnés

Je creverais ce corps et cette existence

Qui dans le sang de la prose degage son dernier souffle

Lugubre dans les rivieres de cadavres

Les cascades de desarmement

Les veines dechirés

Les gorge mutilés ,decapités dans la cisaille

Les cicatrices oubliés qui restent

La nature morte de chagrin

Je me brulerai les yeux pour ne pas voir ce ciel noir se tirer une balle puis s'effacer

Je me creverai les tympan

Pour ne plus entendre le cris  de l'ame violée

L'enfance detruite

L'adulte aigris

Qui glace le sang

Qui le rend gris ou noir

Comme le corbeau agonisant

Dans les champs non loin

Je me brulerai le nez

Pour ne plus sentir putrification

Et l'odeur des odures

Je crirai les oreilles fermés

Je pleurerai caché

Dans l'abime

Dans la cave

Ou le ravin des songes

J'ecrirai avec le sang sombre qui coule hors de mon corps

Sur la société malade qui rend fou les Hommes

J'ecrirai la rage

J'exprimerai le cris

Je dessinerai la laideur

Je chanterai la guerre

Je graverai sur tous les murs

La puissance de ce mal qui me ronge

Qui gronde

Qui m'encombre

Qui me grignote comme un rongeur

Et me nuit comme ce parasite

En cette monotonie royale

Loin de l'egaiement qui n'est que superficielle

Que ces Hommes pronent en légalité

Loin de la beauté ephemere

Qui s'eclipse comme un clandestin 

Et ces gens differents dans leur songe

Hors de la société

Que je retrouve en toute serenité

Dans ces rêves lointain

Je les emenerai avec moi

Loin de la richesse et de la normalité

Loin de ces faux gens mesquins se croyant au dessus de tout

Loin de ses murs

Oui je me creverai les yeux

Les tympans

Et je me brulerai le nez

Je me viderai de ce sang

Je mourrai pour un monde exotique et utopiste

Loin de l'hypocrisie royale

Loin de l'homme grossier et de la femme sournoise

J'inventerai le rêve

Car la vie est un cauchemar

J'inventerai le veritable amour

Car celui ci n'est qu'un jeux pitoyable

Je parlerai lorseque le silence sera moins beau

Ou alors je laisserai parler le vide 

Mais pour l'instant le monde est laid

Ce monde la

Alors laissez moi detruire ce corps et ces pensées

Alors laissez moi oublier ,rêver ,dormir 

M'evader ,m'effacer

Oublier que je suis l'Humain

Car l'Humain est Inhumain

 

 

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